L'une des organisations scientifiques les plus respectées au monde, l'American Physical Society, lance un débat scientifique sur la conclusion du GIEC voulant que les émissions de CO2 liées à l'activité humaine soient responsables du réchauffement climatique observé depuis la révolution industrielle. L'éditeur de la revue de l'APS indique entre autres qu'il y a une présence considérable de gens, à l'intérieur de la communauté scientifique, qui sont en désaccord avec cette conclusion fondamentale à la base de toutes sortes de politiques publiques :
"There is a considerable presence within the scientific community of people who do not agree with the IPCC conclusion that anthropogenic CO2 emissions are very probably likely to be primarily responsible for the global warming that has occurred since the Industrial Revolution. Since the correctness or fallacy of that conclusion has immense implications for public policy and for the future of the biosphere, we thought it appropriate to present a debate within the pages of P&S concerning that conclusion."
Friday, July 18, 2008
Tuesday, July 15, 2008
Liste des choses provoquées par le réchauffement climatique
En lien avec le message précédent, voici la convoitée liste de choses provoquées par le réchauffement climatique.
Tous les éléments inclus à cette liste, des impacts sur le sexe des crocodiles à l'accélération des satellites, en passant par une augmentation de la criminalité, sont tous supportés par de sérieuses études scientifiques.
Tous les éléments inclus à cette liste, des impacts sur le sexe des crocodiles à l'accélération des satellites, en passant par une augmentation de la criminalité, sont tous supportés par de sérieuses études scientifiques.
Le réchauffement climatique augmente les cas de calculs rénaux!
Nouvelle vocation pour ce blog: recenser tout ce qui est causé par le réchauffement/changement climatique (pour votre protection et sensibilisation, bien entendu).
Une telle liste existe quelque part sur l'Internet d'ailleurs; si un lecteur est en mesure de nous y diriger, nous pourrons intégrer un lien vers celle-ci.
Ainsi donc, le nouveau fléau amené par le réchauffement climatique est une augmentation des cas de calculs rénaux. Vous devez comprendre qu'en supportant le Protocole de Kyoto, vous contribuerez à la cause de vos reins ainsi que de ceux de vos proches.
Nous devons pour le moment couper court à ce billet, nos reins nous faisant déjà souffrir.
Une telle liste existe quelque part sur l'Internet d'ailleurs; si un lecteur est en mesure de nous y diriger, nous pourrons intégrer un lien vers celle-ci.
Ainsi donc, le nouveau fléau amené par le réchauffement climatique est une augmentation des cas de calculs rénaux. Vous devez comprendre qu'en supportant le Protocole de Kyoto, vous contribuerez à la cause de vos reins ainsi que de ceux de vos proches.
Nous devons pour le moment couper court à ce billet, nos reins nous faisant déjà souffrir.
Monday, July 7, 2008
Le réchauffement climatique cause maintenant des tremblements de terre!
Décidémment, de nos jours, rien n'arrive sans que ce soit la faute du réchauffement (ou des changements, on ne sait plus) climatique.
Un scientifique Australien, Dr. Tom Chalko PhD, a produit une étude "démontrant" que l'activité séismique globale sur la Terre augmentait dramatiquement depuis les années 90.
L'alarmisme typique de la mouvance environnementale est omniprésente dans ses propos : "Unless the problem of global warming (the problem of persistent thermal imbalance of Earth) is addressed urgently and comprehensively -- the rapid increase in global seismic, volcanic and tectonic activity is certain. Consequences of inaction can only be catastrophic. There is no time for half-measures."
En d'autres termes, si vous voulez échapper à la destruction de la Terre qu'amènera les tremblements de Terre, combattez les changements climatiques!
Capice?
Un scientifique Australien, Dr. Tom Chalko PhD, a produit une étude "démontrant" que l'activité séismique globale sur la Terre augmentait dramatiquement depuis les années 90.
L'alarmisme typique de la mouvance environnementale est omniprésente dans ses propos : "Unless the problem of global warming (the problem of persistent thermal imbalance of Earth) is addressed urgently and comprehensively -- the rapid increase in global seismic, volcanic and tectonic activity is certain. Consequences of inaction can only be catastrophic. There is no time for half-measures."
En d'autres termes, si vous voulez échapper à la destruction de la Terre qu'amènera les tremblements de Terre, combattez les changements climatiques!
Capice?
Friday, July 4, 2008
Liberté, je crie ton nom (quand ça m'adonne)
La Cour suprême du Canada, dans l'affaire Rafe Mair, vient de nous éclairer sur les limites qui doivent être imposées à la liberté d'expression des médias, et elles sont larges.
En Colombie-Britannique, l'animateur de radio Rafe Mair a essentiellement comparé une militante locale (Kari Simpson) au Klu Klux Klan, aux Nazis et aux skinheads parce que... Mme Simpson s'oppose à ce que l'homosexualité soit enseignée comme une chose normale ou positive dans les écoles.
Mme Simpson s'est donc adressée aux tribunaux et l'affaire s'est rendue jusqu'au plus haut tribunal, qui a rendu décision contre elle et réaffirmé le droit d'un animateur de radio de diffuser des opinions choquantes et outrancières.
Plusieurs médias se sont réjouis de cette décision (avec raison croyons-nous), dont Ariane Krol de La Presse. Par contre, Mme Krol ne se rappelle sans doute pas des commentaires de ces mêmes médias lors de l'affaire CHOI / Jeff Fillion, sans quoi elle se serait sans doute gardé une petite gêne avant d'applaudir. Ou la liberté d'expression est-elle "variable" selon les causes et plus large lorsqu'il s'agit de défendre les homosexuels?
En Colombie-Britannique, l'animateur de radio Rafe Mair a essentiellement comparé une militante locale (Kari Simpson) au Klu Klux Klan, aux Nazis et aux skinheads parce que... Mme Simpson s'oppose à ce que l'homosexualité soit enseignée comme une chose normale ou positive dans les écoles.
Mme Simpson s'est donc adressée aux tribunaux et l'affaire s'est rendue jusqu'au plus haut tribunal, qui a rendu décision contre elle et réaffirmé le droit d'un animateur de radio de diffuser des opinions choquantes et outrancières.
Plusieurs médias se sont réjouis de cette décision (avec raison croyons-nous), dont Ariane Krol de La Presse. Par contre, Mme Krol ne se rappelle sans doute pas des commentaires de ces mêmes médias lors de l'affaire CHOI / Jeff Fillion, sans quoi elle se serait sans doute gardé une petite gêne avant d'applaudir. Ou la liberté d'expression est-elle "variable" selon les causes et plus large lorsqu'il s'agit de défendre les homosexuels?
Wednesday, June 25, 2008
Que faut-il faire avec Mugabe au Zimbabwe?
Ainsi donc, après avoir perdu le premier tour des élections aux mains de son rival Morgan Tsvangirai, Robert Mugabe, en poste depuis 1980, a juré que rien ne le délogerait du pouvoir (sauf peut-être Dieu). Après celles de l'Irak avant l'invasion ou celles de la Corée du Nord, voilà d'autres élections pleines de sens...
Tsvangirai s'est désisté du second tour suite aux violences répressives exercées par le régime Mugabe depuis sa défaite au premier tour, laissant donc la voie libre au dictateur, qui ne compte pas reporter le second tour malgré les pressions exercées à cet effet par la communauté africaine et par la communauté internationale.
La communauté africaine rejette, du moins pour le moment, l'idée d'une intervention armée au Zimbabwe.
Lançons néanmoins la question : une intervention militaire destinée à déloger Mugabe et remettre le pouvoir entre les mains de Tsvangirai, en attendant de nouvelles élections légitimes, serait-elle préférable au statu quo offert par le régime répressif? La population du Zimbabwe doit-elle être abandonnée à son sort, ou avons-nous la responsabilité de l'aider à instaurer son choix de s'émanciper du régime Mugabe? Rappelons que malgré tous les mouvements anti-militaristes, il existe parfois des situations de jus ad bellum (doctrine de la guerre juste). Ce standard est-il ici rencontré?
Tsvangirai s'est désisté du second tour suite aux violences répressives exercées par le régime Mugabe depuis sa défaite au premier tour, laissant donc la voie libre au dictateur, qui ne compte pas reporter le second tour malgré les pressions exercées à cet effet par la communauté africaine et par la communauté internationale.
La communauté africaine rejette, du moins pour le moment, l'idée d'une intervention armée au Zimbabwe.
Lançons néanmoins la question : une intervention militaire destinée à déloger Mugabe et remettre le pouvoir entre les mains de Tsvangirai, en attendant de nouvelles élections légitimes, serait-elle préférable au statu quo offert par le régime répressif? La population du Zimbabwe doit-elle être abandonnée à son sort, ou avons-nous la responsabilité de l'aider à instaurer son choix de s'émanciper du régime Mugabe? Rappelons que malgré tous les mouvements anti-militaristes, il existe parfois des situations de jus ad bellum (doctrine de la guerre juste). Ce standard est-il ici rencontré?
Friday, June 20, 2008
Quand la liberté ne suscite même plus l'intérêt...
On se demande parfois comment on a pu se rendre à un tel stade d'endoctrinement social-démocrate. Mais la réalité frappe. L'idée de la liberté n'intéresse plus beaucoup de gens. On sent même un certain dédain par certains, à l'évocation de ce mot autrefois noble.
C'est une récente étude de The Economist qui sonne l'alarme en Grande-Bretagne, dans le contexte de l'adoption d'une nouvelle loi permettant la détention de personnes suspectées d'activités terroristes jusqu'à 42 jours sans dépôt d'accusations.
On y constate entre autres que dans l'abstrait, les citoyens défendent les libertés civiles, mais lorsque confrontés à des mesures gouvernementales spécifiques promettant plus de protection en échange d'un peu de liberté, les défenses tombent et les mesures envahissantes jouissent du support populaire.
On note également que de manière générale, les femmes sont plus favorables aux mesures autoritaires que les hommes, et que les travaillistes sont plus confortables avec l'idée d'envahir les libertés civiles que les conservateurs.
L'étude pourrait tout aussi bien être transposée au Québec ou au Canada sans être reconduite. On entend même la question se poser à savoir s'il est vraiment important d'être libre et s'il n'y a pas des problèmes, aujourd'hui, qui requièrent de sacrifier notre liberté. On peine à réaliser que cette question est posée depuis l'avènement du socialisme, qui prétendra toujours avoir des problèmes à régler pour "le bien commun" qui vont au-delà de tout le reste.
Le futur de ce qui nous reste de liberté demeurera incertain, voire trouble, tant que l'intérêt des citoyens pour la liberté n'aura pas été renouvelé et surpassera leur attrait pour des mesures politiques soit-disant destinées à régler toutes sortes de problèmes. Le danger réside en ce que la chose risque de ne pas se produire, cette fois, avant d'avoir franchi le point de non-retour et que l'État ne dicte le moindre de nos gestes et déplacements.
C'est une récente étude de The Economist qui sonne l'alarme en Grande-Bretagne, dans le contexte de l'adoption d'une nouvelle loi permettant la détention de personnes suspectées d'activités terroristes jusqu'à 42 jours sans dépôt d'accusations.
On y constate entre autres que dans l'abstrait, les citoyens défendent les libertés civiles, mais lorsque confrontés à des mesures gouvernementales spécifiques promettant plus de protection en échange d'un peu de liberté, les défenses tombent et les mesures envahissantes jouissent du support populaire.
On note également que de manière générale, les femmes sont plus favorables aux mesures autoritaires que les hommes, et que les travaillistes sont plus confortables avec l'idée d'envahir les libertés civiles que les conservateurs.
L'étude pourrait tout aussi bien être transposée au Québec ou au Canada sans être reconduite. On entend même la question se poser à savoir s'il est vraiment important d'être libre et s'il n'y a pas des problèmes, aujourd'hui, qui requièrent de sacrifier notre liberté. On peine à réaliser que cette question est posée depuis l'avènement du socialisme, qui prétendra toujours avoir des problèmes à régler pour "le bien commun" qui vont au-delà de tout le reste.
Le futur de ce qui nous reste de liberté demeurera incertain, voire trouble, tant que l'intérêt des citoyens pour la liberté n'aura pas été renouvelé et surpassera leur attrait pour des mesures politiques soit-disant destinées à régler toutes sortes de problèmes. Le danger réside en ce que la chose risque de ne pas se produire, cette fois, avant d'avoir franchi le point de non-retour et que l'État ne dicte le moindre de nos gestes et déplacements.
Tuesday, June 17, 2008
La nouvelle trouvaille de Montréal : des routes sans auto
Montréalworld ne cessera jamais de nous épater par sa capacité à succomber aux groupes de pression. Voilà que la rue Ste-Catherine sera fermée à ses usagers naturels, les automobiles, pour devenir piétonière entre Berry et Papineau pour rien de moins que tout l'été.
Non mais au fond, pour qui ils se prennent ces automobilistes pour aller jusqu'à utiliser les routes construites à grands frais par les contribuables? Et tant qu'à y être, puisqu'elles sont si aimées et prisées des piétons, pourquoi ne pas transformer les parcs en routes asphaltées? Et pourquoi seulement la rue Ste-Catherine? Le Pont Champlain, en projet de rue piétonière, offrirait un panorama exceptionnel en plus d'offrir suffisamment d'espace pour développer quelques commerces en plein-air sur les accotements.
L'idée est lancée, et vous êtes bienvenus à la propager auprès des gaugauches que vous connaissez, voir si elle pourra faire du chemin.
Non mais au fond, pour qui ils se prennent ces automobilistes pour aller jusqu'à utiliser les routes construites à grands frais par les contribuables? Et tant qu'à y être, puisqu'elles sont si aimées et prisées des piétons, pourquoi ne pas transformer les parcs en routes asphaltées? Et pourquoi seulement la rue Ste-Catherine? Le Pont Champlain, en projet de rue piétonière, offrirait un panorama exceptionnel en plus d'offrir suffisamment d'espace pour développer quelques commerces en plein-air sur les accotements.
L'idée est lancée, et vous êtes bienvenus à la propager auprès des gaugauches que vous connaissez, voir si elle pourra faire du chemin.
Monday, June 16, 2008
L'Irlande rejette le traité de Lisbonne. Vive l'Irlande !
Par voie de référendum la semaine passée, les Irlandais ont dit "non" au Traité de Lisbonne et par le fait même, signifié leur non-intérêt à l'Union Européenne. Contre toute la classe politique, contre des médias pro-UE, contre des moyens financiers grandement supérieurs aux leurs, les leaders du "non" ont permis aux Irlandais de se tenir debout contre le mouvement de centralisation à Bruxelles.
On a pu lire dans presque toutes les feuilles de chou que les Irlandais devaient leur prospérité à l'UE et qu'ils étaient ingrats de rejeter le Traité de Lisbonne. Rarement a-t-on pu voir propagande aussi calomnieuse. La prospérité irlandaise s'est créée à travers des réformes économiques locales : réductions d'impôts et de la réglementation, toutes deux menacées par les projets de centralisation de l'UE. L'Irlande est aujourd'hui l'un des pays les plus libres économiquement, et nul hasard qu'il soit maintenant aussi prospère. Qui plus est, peu d'autres pays européens peuvent en fait se prétendre plus prospères qu'ils ne l'étaient avant leur adhésion à l'UE. Pourquoi, dans le cas de l'Irlande, l'UE aurait-elle été aussi bénéfique?
La réalité est que l'Irlande n'est pas prospère grâce à l'UE, mais bien malgré elle.
Maintenant, en politique européenne, on sait que "non" ne veut pas dire nécessairement "non" pour la classe politique. On entend déjà les appels à la tenue d'un nouveau référendum par les partisans de l'UE, afin de donner une nouvelle chance au "oui". Gordon Brown, en Grande-Bretagne, qui a ratifié le traité sans le soumettre au vote parce qu'il le savait perdu d'avance, clame maintenant que le traité fonctionnera quand même.
Les Irlandais, après les Français qui, en 2005, avaient rejeté la Constitution européenne, vient de lancer une solide droite à la gauche centralisatrice européenne. Les Anglais, qui ont vu leur démocratie les empêcher d'exprimer leur volonté, pourront bientôt lui passer le K.O.
On a pu lire dans presque toutes les feuilles de chou que les Irlandais devaient leur prospérité à l'UE et qu'ils étaient ingrats de rejeter le Traité de Lisbonne. Rarement a-t-on pu voir propagande aussi calomnieuse. La prospérité irlandaise s'est créée à travers des réformes économiques locales : réductions d'impôts et de la réglementation, toutes deux menacées par les projets de centralisation de l'UE. L'Irlande est aujourd'hui l'un des pays les plus libres économiquement, et nul hasard qu'il soit maintenant aussi prospère. Qui plus est, peu d'autres pays européens peuvent en fait se prétendre plus prospères qu'ils ne l'étaient avant leur adhésion à l'UE. Pourquoi, dans le cas de l'Irlande, l'UE aurait-elle été aussi bénéfique?
La réalité est que l'Irlande n'est pas prospère grâce à l'UE, mais bien malgré elle.
Maintenant, en politique européenne, on sait que "non" ne veut pas dire nécessairement "non" pour la classe politique. On entend déjà les appels à la tenue d'un nouveau référendum par les partisans de l'UE, afin de donner une nouvelle chance au "oui". Gordon Brown, en Grande-Bretagne, qui a ratifié le traité sans le soumettre au vote parce qu'il le savait perdu d'avance, clame maintenant que le traité fonctionnera quand même.
Les Irlandais, après les Français qui, en 2005, avaient rejeté la Constitution européenne, vient de lancer une solide droite à la gauche centralisatrice européenne. Les Anglais, qui ont vu leur démocratie les empêcher d'exprimer leur volonté, pourront bientôt lui passer le K.O.
Friday, June 13, 2008
Tax Freedom Day
Tax Freedom Day est célébré le 14 juin cette année au Canada, soit samedi prochain. Tax Freedom Day est la journée où, en moyenne au pays, le citoyen cesserait de payer des impôts et commencerait à travailler pour lui-même s'il commençait l'année en payant tout son salaire en impôts. Proposition à débattre : devrait-on remplacer un des jours fériés insignifiants du calendrier, par exemple la Fête des Patriotes, par un autre jour férié pour célébrer Tax Freedom Day?
Quoi qu'il en soit, bonne nouvelle, cette journée arrive quatre jours plus tôt que l'an passé. Par contre, toujours 40 jours plus tard qu'en 1961, première année du calcul.
Par province en 2008, les Albertains célèbrent leur libération le 28 mai, tandis que les Québécois doivent attendre au 19 juin.
Essentiellement, nous travaillons toujours pour l'État la moitié de notre temps passé au travail, en moyenne. Grâce à une sorte de somnifère collectif, une bonne dose de propagande et un système d'information complaisant, nous acceptons à toutes fins pratiques de travailler en esclavagisme six mois par année pour ensuite continuer de travailler les prochains six mois à revenu. Et nous acceptons la chose parce que l'on croit que la société s'en porte mieux ainsi... Allez savoir.
Quoi qu'il en soit, bonne nouvelle, cette journée arrive quatre jours plus tôt que l'an passé. Par contre, toujours 40 jours plus tard qu'en 1961, première année du calcul.
Par province en 2008, les Albertains célèbrent leur libération le 28 mai, tandis que les Québécois doivent attendre au 19 juin.
Essentiellement, nous travaillons toujours pour l'État la moitié de notre temps passé au travail, en moyenne. Grâce à une sorte de somnifère collectif, une bonne dose de propagande et un système d'information complaisant, nous acceptons à toutes fins pratiques de travailler en esclavagisme six mois par année pour ensuite continuer de travailler les prochains six mois à revenu. Et nous acceptons la chose parce que l'on croit que la société s'en porte mieux ainsi... Allez savoir.
Wednesday, June 11, 2008
Index of Economic Freedom 2008
Plus ça change, plus c'est pareil. L'Index of Economic Freedom 2008 a peu changé au cours des dernières années. Les pays les plus libres économiquement sont toujours les mêmes :
1- Hong Kong
2- Singapour
3- Irelande
4- Australie
5- États-Unis
Et les pays les moins libres économiquement se ressemblent également : Corée du Nord, Zimbabwe, Cuba, Burma, Libie.
Le lien est toujours aussi clair entre la liberté économique d'un pays et son niveau de prospérité générale, d'éducation, d'espérance de vie, etc.
Explications demandées. Pourquoi nous obstinons-nous toujours dans notre 'modèle' social-démocrate?
1- Hong Kong
2- Singapour
3- Irelande
4- Australie
5- États-Unis
Et les pays les moins libres économiquement se ressemblent également : Corée du Nord, Zimbabwe, Cuba, Burma, Libie.
Le lien est toujours aussi clair entre la liberté économique d'un pays et son niveau de prospérité générale, d'éducation, d'espérance de vie, etc.
Explications demandées. Pourquoi nous obstinons-nous toujours dans notre 'modèle' social-démocrate?
Tuesday, June 10, 2008
Un bricolage nommé "Constitution du Québec"
Il est toujours amusant de lire les sécrétions pseudo-intellectuelles du Parti Québécois afin d'en recenser les non-sens qui se calculent souvent en gogols, et le projet de constitution du Québec n'échappe pas à la règle!
Nous nous intéressons particulièrement, ici, à l'article 13 de ce document, qui propose notamment ce qui suit :
Le PQ est-il maintenant d'avis qu'une majorité aux deux tiers serait maintenant nécessaire au camp du "oui" lors d'un prochain référendum? Parce qu'il s'agit d'une décision de même nature ici. Ou serait-ce (encore) un exemple de doubles standards de notre parti de gauche? Ou peut-être une erreur de calcul?
Nous nous intéressons particulièrement, ici, à l'article 13 de ce document, qui propose notamment ce qui suit :
13. Tout projet de loi de révision de la présente Constitution peut être présenté par le Premier ministre ou la Première ministre ou par au moins 25 % des députés et des députées de l’Assemblée nationale.
Le projet de loi de révision doit obtenir une majorité des deux tiers des députés et députées de l’Assemblée nationale.
Le PQ est-il maintenant d'avis qu'une majorité aux deux tiers serait maintenant nécessaire au camp du "oui" lors d'un prochain référendum? Parce qu'il s'agit d'une décision de même nature ici. Ou serait-ce (encore) un exemple de doubles standards de notre parti de gauche? Ou peut-être une erreur de calcul?
Prix de l'essence : il s'agit de ne rien faire
Un commentaire sage et avisé d'André Pratte de La Presse suggère que la solution aux prix élevés de l'essence ne réside pas dans les politiciens (certains y croient, allez savoir) mais plutôt dans le laissez-faire. Il cite avec raison le secrétaire-général de l'OCDE :
Voilà un morceau d'éducation économique qui devrait s'incruster dans nos têtes, et pas seulement dans le débat concernant les prix de l'essence. Il est démontré autant en théorie qu'en pratique que lorsque le prix d'un bien augmente (rareté), les incitatifs à produire des alternatives augmentent eux aussi.
Les politiciens, malgré leurs discours et leur narcissisme, n'y peuvent rien et bien souvent, ralentissent le processus sans le vouloir.
"La meilleure solution aux prix élevés du pétrole sont les prix élevés du pétrole."
Voilà un morceau d'éducation économique qui devrait s'incruster dans nos têtes, et pas seulement dans le débat concernant les prix de l'essence. Il est démontré autant en théorie qu'en pratique que lorsque le prix d'un bien augmente (rareté), les incitatifs à produire des alternatives augmentent eux aussi.
Les politiciens, malgré leurs discours et leur narcissisme, n'y peuvent rien et bien souvent, ralentissent le processus sans le vouloir.
Monday, June 9, 2008
Chanson-thème de Hockey Night in Canada transférée à RDS et TSN
En lien avec notre message du 6 juin dernier, nous apprenons que les droits pour la chanson-thème de Hockey Night in Canada ont été vendus à perpétuité au réseau CTV, propriétaire de RDS et TSN.
Maintenant, si ces deux réseaux pouvaient aussi présenter les hymnes nationaux plutôt que de nous imposer leurs commentateurs débilitants en début de match, nous aurons deux bons diffuseurs de hockey.
Maintenant, si ces deux réseaux pouvaient aussi présenter les hymnes nationaux plutôt que de nous imposer leurs commentateurs débilitants en début de match, nous aurons deux bons diffuseurs de hockey.
Sunday, June 8, 2008
Justin Trudeau : "La Charte s'applique aux extra-terrestres"
Belle trouvaille du National Post. On y rapporte qu'en réponse à un intervenant sur son blogue, le futur chef du Parti Libéral du Canada, Justin Trudeau, nous informe qu'advenant qu'un extra-terrestre vienne sur Terre et devienne citoyen canadien, la Charte des droits et libertés lui serait applicable. Justin enfile avec un conseil au gouvernement Harper en cette matière (http://network.nationalpost.com/np/blogs/fullcomment/archive/2008/06/08/justin-trudeau-the-charter-of-rights-applies-to-space-aliens.aspx).
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